Management du risque : il est temps de réviser la norme ISO 31000
Cybersécurité, interruptions d’activité, évolutions macroéconomiques, crise énergétique, modifications législatives, catastrophes naturelles, changements climatiques, pénurie de personnel, incendies et explosions, risques politiques et violence… Voici les principaux risques auxquels est confrontée l’entreprise, selon le baromètre annuel Allianz.
Toute organisation doit pouvoir faire la démonstration de la maîtrise des risques encourus, c’est-à-dire les traiter de manière méthodique, efficace afin de réduire l’impact de ces événements. Jusqu’à aujourd’hui, la norme volontaire ISO 31000 accompagnait les organisations dans la prise de décision fondée sur le risque sous toutes ses formes. Or, depuis récemment, les facteurs de risque ont évolué : les cyberattaques se sont multipliées, sans parler du changement climatique, des crises sanitaires, de l’essor de l’IA, etc. Bref, une révision de la norme s’impose si on veut mieux anticiper les risques de demain.
Grandes entreprises, sociétés d’assurance et de réassurance, pouvoirs publics… C’est le moment de vous mobiliser ! Nous vous l’expliquerons lors d’une web-conférence gratuite le 26 mars 2024 de 13 h à 14 h, animée par Mariem Batti, cheffe de projet normalisation chez AFNOR, et Pauline Joris responsable du pôle Gouvernance, avec Françoise Gaucher, présidente de la commission de normalisation AFNOR sur le management des risques, Jean-Paul Louislot, consultant en stratégie et management du risque chez Monnerie Saint Anselme, Jean-François Charbonnier, chef de la mission Audit interne du SGA (ministère de la Défense) et Steve O’Brien, enseignant-chercheur à l’ESAIP. Les normes de demain se préparent aujourd’hui. Et certainement pas sans vous !
Au programme:
- Contexte et enjeux de la révision : besoins, réalité, perspectives
- L’apport des travaux normatifs pour votre organisation
- Pourquoi votre mobilisation et votre contribution sont importantes
- Questions-réponses
La participation est gratuite mais l’inscription obligatoire.