Finance, luxe, logistique… La blockchain se diffuse très rapidement dans le tissu économique, pour de multiples applications.
Cette technologie vise à sécuriser totalement les transactions effectuées en ligne et sert de tiers de confiance pour enregistrer toutes les informations.
Elle se base sur cinq caractéristiques :
Or, une technologie de rupture n’est pas viable si elle n’inspire pas confiance et si elle n’est pas interopérable. C’est là que les normes volontaires interviennent : elles posent un cadre et décrivent les bonnes pratiques sur le plan de la terminologie, l’architecture, l’interopérabilité, la sécurité ou l’automatisation. Comme de nombreux concepteurs et utilisateurs de la blockchain, et en partenariat avec la fédération française des professionnels de la blockchain, rejoignez la commission de normalisation AFNOR pour écrire ces normes, et faites entendre votre voix à l’échelle internationale dans le cadre du comité ISO/TC 307 !
AFNOR met à disposition des acteurs concernés les premières normes volontaires portant sur la technologie blockchain. Ainsi la norme NF Z64-951 propose un classement des niveaux de véracité d’une information à transcrire dans un système utilisant la technologie blockchain. Le sigle NF indique que la norme est reprise dans la collection française. Une première norme volontaire internationale fait déjà référence : ISO 22739, publiée en juillet 2020. Elle joue son rôle de partage de bonnes pratiques en proposant un vocabulaire commun sur ce qu’elle définit en français comme « chaîne de blocs et technologies de registres distribués ».